vendredi 16 octobre 2015

L’HOMME QUI POURRAIT BATTRE KABILA POUR KABILA



Les un applaudissent la démission de Moise KATUMBI, les autres cependant n’y voient rien qu’un jeu politique visant à aveugler le peuple congolais.
Photo de la radio Okapi
Au lendemain de la démission du gouverneur de l’ex-province du KATANGA de son poste et de son parti politique le PPRD, parti cher au chef de l’Etat Joseph KABILA, une  tempête politique emporte les cadres du pays. Par quel genre des précipitations sera-t-elle accompagnée?
Réagissant sur cette démission, toutes les couches de l’opposition convergent sur une même opinion. Moise Katumbi mérite plus que les pétales des fleurs : «Je tiens à présenter mes hommages, toutes mes félicitations et toute mon admiration suite à l'acte combien héroïque que Moïse Katumbi vient de poser en démissionnant du PPRD et du gouvernorat pour être conforme avec sa conscience”, s’est confié KYUNGU WA KUMWANZA, président de l'UNAFEC, parti dicident, membre du G7 à la radio Okapi, tout en soulignant que la décision de l’homme puissant du Katanga n’a rien avoir avec le G7 : «On verra la suite mais ici c'est en rapport avec sa propre conscience. Il a décidé de claquer la porte en âme et conscience» et estime que cette démission va dans l’intérêt du peuple.
L’opposant au régime en place Vital Kamerhe, président de l’UNC, ancien collaborateur de Joseph KABILA se dit satisfait de voir que les Congolais continuent à prendre conscience  et encouragent d'autres citoyens à faire échec à tout ce qui tend à violer la loi fondamentale: « Il vaut mieux tard que jamais » a-t-il souligné au micro de la radio Okapi, estimant que les propos métaphoriques lancés par Moise K en revenant de la Belgique en décembre dernier montrait déjà sa position face au prétendu glissement envisagé par plus d’un Congolais : « Au mois de décembre quand le gouverneur Katumbi est rentré de soins en Europe, il avait lancé le troisième penalty. Il avait dit non au troisième penalty » ; « Moi j’avais réagi tout de suite pour dire que c’est une très bonne chose Moïse, il faut aller jusqu’au bout. Aujourd’hui, il a franchi le rubicond. Je ne peux que le féliciter »
Les pro-Kabila semblent ne pas s’inquiéter de perdre l’un des poids lourds de leur famille politique et soutiennent que personne n’est indispensable : « Il est parti, c’est normal. Le parti va survivre, la majorité va survivre » a déclaré Richard MUYEJ, cadre de la Majorité présidentielle et ex-ministre de l’intérieur, sécurité, décentralisation et affaires coutumières.
Cette démission qui devait pourtant faire chanceler le pouvoir en place semble cependant ne pas produire d’effets sur les détenteurs du pouvoir et ne leur surprend en rien : « Sa démission ne nous surprend pas parce que ça faisait plus d’un an qu’il avait pris des positions à l’emporte-pièce à contrario, de la philosophie de notre famille politique » a déclaré Lambert MENDE OMALANGA, ministre de la Communication et Médias et porte-parole du gouvernement
Dans sa déclaration, M. Katumbi lance un appel à toutes les forces vives congolaises, « pour qu'ensemble nous mettions un terme au découragement, à la résignation et au fatalisme en sauvegardant notre jeune démocratie ».
Moïse Katumbi déplore également « les arrestations arbitraires » et les « intimidations de toutes sortes ».
« Ces derniers temps, trop d’exemples doivent nous alerter : arrestations arbitraires de militants pro-démocratie, interdictions de sortie de films, intimidations de toutes sortes, répressions policières de plus en plus violentes, coupures des connexions Internet »
Ceux qui ne voient pas clair dans tout ceci ce sont les populations civiles s’indignent et pense aux jeux politiques qui se sont toujours succéder non seulement en République Démocratique du Congo mais aussi partout sur le continent africain : « Ce qui surprend le plus c’est voir qu’une bombe explose dans un navire et ce ne sont que les passagers qui sont inquiets alors que l’équipage semble serein en voyant la barque s’écrouler sans fournir une quelconque tentative pouvant la maintenir sur les flots. S’il la laisse s’écrouler c’est parce qu’ils savent comment se sauvent en s’accaparant d’une chose de grande valeur des membres de l’équipage. Dans une circonstance pareille il est inutile de fournir d’effort pour déduire qu’ils sont complice de l’explosion » dénonce Gilbert MUKALENGA, membre d’un mouvement citoyen de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu.
De sa part, Joseph MAKASI, enseignant d’Histoire et Géographie dans une école de Goma, « Le peuple est habitue à ce genre de scénario. Ils veulent tromper notre vigilance par ces manœuvres car ils ont compris que nous savons déjà ce qu’ils prévoyaient. S’ils ont choisi KATUMBI c’est parce qu’ils savent qu’en lui, le peuple a un minimum de confiance surtout que leur objectif est de se maintenir au pouvoir. Ce qui me désole ce que, malgré que je sache cela, je ne me passerai pas de sa candidature bien que nous devons nous attendre au pire. Nous pouvons envisager que le contraire serait aussi vrai et que les choses sont telles qu’elles semblent.»
Isaac NDOOLE, chauffeur de bus de son état, rasure : « Ils ont eu peur de présenter Moise KATUMBI en tant que candidat de leur famille politique car de ce fait il serait battu par n’importe quel représentant de l’opposition. Je crois avec ce jeu ils ont deux grands objectifs : premièrement étouffer toutes les chances de l’opposition de gagner les futures élections, deuxièmement se maintenir au pouvoir le plus longtemps possible bien que le peuple ne soit de leur côté. »

Par Jean-fraterne RUYANGE

mardi 1 septembre 2015

L'armée onusienne stabilise ou destabilise-t-elle les populations civiles locales?



La carte a changé: Ceux qui prétendent stabiliser et protéger sont devenus les plus redoutables des prédateurs à la chasse à la quiétude des pauvres peuples meurtris et sans défense. Les casques bleus, dernier espoir de pacification des nations en réquiem, participent à l’amplification de la désolation. 

Ayant officiellement succéder à la FOMAC (Force multinationale de l'Afrique centrale) le 19 décembre 2013, la MISCA (Mission internationale de soutien à la Centrafrique) forte de 3 700 hommes fut une force  militaire sous conduite africaine mandatée par les Nations-Unis qui est allé à la rescousse de la stabilisation de la République Centrafricaine.
Le 15 septembre 2014, elle a cédé cette mission à la MINUSCA (Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République Centrafricaine), une armée onusienne forte de 12 000 hommes.


Les FARDC (Forces Armées de la République Démocratique du Congo) ainsi que d’autres armées africaines dont le FRD (Forces rwandaises de défense) ont envoyé des militaires dans la mission ci-haut citée et ont maitrisé, voire même neutraliser, à plusieurs reprises, les ex-rebelles de la Séléka dans la capitale Bangui, après la chute de François BOZIZE.

Cependant, dans les coulisses de cette mission, sont signalés plusieurs actes de dérapages et différentes dépravations : D’après plusieurs sources, avant d’être remplacé à la tête de la mission par le général gabonais Parfait Ouanga-Anyanga, le général sénégalais Babacar Gaye a été objet d’une série d’accusations d’abus sexuel contre des enfants.

La Minusca fait face à au moins 61 accusations des fautes, dont 12 concernant les abus sexuels.
 Le cas le plus récent est celui perpétré par trois militaires du contingent militaire congolais qui ont eu des relations sexuelles avec des jeunes demoiselles âgées respectivement de 19 et 18 ans, ainsi qu’une mineure âgée de 15 ans.

Outre les dépravations sexuelles, plusieurs crimes sont recensés dans les rangs des différents contingents. Soulignons, par exemple, le cas du militaire du contingent rwandais qui a ouvert le feu sur ses compagnons d’arme, faisant 4 morts et 8 blessés, avant de se donner la mort.

Ayant réagi à cette préoccupation, les étudiants de la ville de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu en République Démocratique du Congo, ont requis l’anonymat.
Un étudiant de l’ULPGL se dit inquiet car les forces armées réunies au sein de la Minusca sont issues des troubles et perturbations, chose pour laquelle elles ne feront que répandre  les troubles : 
« Prenons l’exemple des FARDC dont la plupart a été recruté de1995 en 1997 pour renverser la dictature de MOBUTU, roi du Zaïre, sans une formation ni discipline quelconque. Ils ont été ramassés dans une salade de méli-mélo juste pour combattre. Ne parlons pas de ceux du FRD issu de l’APR qui conserve encore en son sein le ferment du génocide. »

Pour un autre, étudiant de l’UNIGOM : 
« Ce n’est pas la Minusca qui échoue. C’est plutôt l’armée onusienne. Comment expliquer le fait que même ici chez nous, la MONUSCO (Mission de l'Organisation des Nations unies en République démocratique du Congo) est toujours complice de milices et rebellions ? Très active dans la magouille ? Certes, nous ignorons comment les Indiens, Ukrainiens, Uruguayens,… sont recrutés à partir de chez eux pour se retrouver dans la MONUSCO mais nous savons quand-même qu’ils violent souvent et devient leur mission.

C’est ainsi que le mercredi 26 novembre dernier plus de 10 casques bleus ukrainiens  de la Monusco ont été surpris au centre d’un trafic des tenus de la Garde républicaine de la RDC.

Il n’y a pas de cela trois ou quatre ans, une jeep du contingent indien a aussi été arrêtée en flagrant délit de trafic illicite des minerais au niveau de la frontière rwando-congolaise avec environ un tonne de cassitérite à son bord. Ça ce n’est pas au sein de la Minusca et non seulement dans la Monusco. Je suis sûr que des tels cas peuvent être interceptés dans différents pays où il y a la présence des casques bleus. »
Photo par radio kivu 1
 


Le jeune poète et activiste Arsène NTAMUSIGE ne trouve rien de surprenant dans tout cela. Par des métaphores narratives, retrace le contexte de cette cacophonie en ce terme:

« Et le terrible lion se vêtit la peau d’un veau. Il s’afficha en très bon visiteur dans une pauvre famille des veaux, un visiteur visiblement soucieux du bien-être de tous les animaux du zoo. Ce fut bonne stratégie pour qu’il dégusta chaque nuit une tendre chaire d’agneau, sans contrainte aucune…
Si l’on dit que le tigre est un grand félin, pas par son pelage richement orné et coloré mais par ses griffes rétractiles et ses dents très puissantes, il est possible de mettre en cause, vu ce qui se vit sur terrain, l’épithète bleu du casque de la Minusca. L’on dirait mieux casques rouges de la Minusca. » 

Cette kyrielle des faits accomplis mêlés à des suppositions n’est pas de nature à renforcer les relations et la confiance de la population face aux casques bleus. Ces derniers commencent à être perçus comme étant les plus hostiles des prédateurs de la quiétude des populations civiles mais aussi comme un frein au processus de pacification dans plus d’un pays de l’Afrique.




mercredi 5 août 2015

Repensé la religion pour une quête du développement communautaire réaliste en RDC.



Dans une société meurtrie par  plusieurs maux géants depuis la nuit des temps, la réadaptation de la religion sur les engins du développement à la une devient une voie irréfutable et urgente.

C’est un problème énorme qui est passé sous un silence absolu des grands esprits du pays. Pendant que le monde reste tiraillé par un désir ardent de rompre avec les traditions d’antan basée sur la privation de la liberté, d’une part, et la recherche de la rationalisation de la religion au sein des jeunes générations, d’autre part. Les nations réfléchissent aussi comment inventé le bonheur communautaire pour leurs populations longtemps meurtrie par des guerres, la violation des droits de l’homme, l’ignorance, l’injustice, le chômage, la famine,...

Ainsi, la falsification de la religion est devenu monnaie courante en République Démocratique du Congo. C’est de mes observations objectives et parfois de mes expériences que provient le condensé de cet article, en effet la religion du latin « religio » est un mot qui signifie le respect des coutumes, des ses parents, des devoirs civiques et des liens des sociétés. Toute civilisation, toute société possède une forme ou une autre de religion que ce soit dans le contexte énoncé dans la définition ci-haut, ou celle considéré par Cicéron qui est la plus ancienne des définitions de la religion, pour lui c’est « le fait de s’occuper d’une nature supérieure, que l’on appelle divine, et de lui rendre un culte ».

En république démocratique du Congo depuis maintenant plus d’un demi-siècle les  grandes religions, en l’occurrence, du christianisme, l’islam, mais également le kimbanguisme continuent à prendre des dimensions épatantes. L’émergence des églises de réveil s’enracine aussi dans la profondeur de la société depuis 1970, lors de l’arrivé du grand mouvement dit charismatique dans les églises traditionnelles. De part et d’autre dans les avenues, ce n’est pas rare de constater une pullulation des chambres de prières où les adeptes passent des journées entières en quête des miracles qui font penser a la guérison des maladies, la possession des l’opulence, la recherche de l’influence, la baraka pour avoir de marie, la sécurité dans les activités entreprises, et d’autres chantages métaphysiques.

Cela commence à devenir une philosophie de vie dans le chef de la majorité des congolais quand nul ne pense pas au travail mais à un Dieu qui donne tout sans rien faire. Ainsi nul ne peut s’étonner pour un espace de 2 345 000 km2 disposant d’énorme richesses, pour ne pas répéter le mot « scandale géologique », mais classée en dernière position sur l’indice du développement humain du PNUD à l’année 2012 occupant la 186emeplace sur le 186 pays figurant dans ce rapport. On a bon de dire c’est les autres comme c’est devenu la coutume mais avons-nous osé tourner le regard sur nous même ? Je ne pense pas.

La culture de la perte du temps, les lavages des cerveaux s’est déjà imposé à des dimensions qu’on ne peut croire. En effet, certains pasteurs arrivent à rançonner les adeptes jusqu'à l’épuisement. Ainsi les responsables des églises s’enrichissent sur le dos et la sueur des autres pauvres croyants.

C’est une culture de la mort, cette culture des escrocs gentils. L’argent destiné à aider les pauvres comme dans l’église primitive est pour beaucoup d’églises la source d’antagonisme entre pasteurs chacun voulant s’approprier la part du lion. Avons-nous déjà oublié cette parole de Confucius « l’homme de bien ne demande rien qu’à lui-même, l’homme de peu demande tout aux autres ».
  
Aussi, Suite à ce lavage de cerveau, certaines mères des familles parviennent à rompre l’obéissance à leurs maris et en détourne à leurs pasteurs qui considèrent tout ceux qui vont à l’encontre de leurs affirmations comme esprit du mal ou démon nécessitant une délivrance.

Les consciences individuelle et collective sont en ruine, et le pouvoir créateur dont dispose tout être humain en guise de ressemblance à son créateur est en fuite, quelle société peut se bâtir sur une telle base ? Nulle.

Alors que nous sommes dans une course de léguer à la génération à venir une société reconstruite, une société d’espoir, une société où l’homme est le transformateur de son milieu par un travail acharné, une société où la vertu est l’armature de la vie. Les religions doivent bien revoir leur vision du monde, chercher à libérer les adeptes de leurs limitations de toute sorte de sottise qui les tenaille dans la boue, et non pas les enfermer et les noyer d’avantage dans le labyrinthe d’une foi esclavagiste, dépravatrice, dictatrice, dominatrice.

Nul n’ignore que le développement durable intègre le social, l’économique et l’environnemental mais dans tout ça c’est l’homme qui est au centre, reste le moteur du développement. C’est par lui que cela doit débuter et c’est par lui que cela doit terminer. Ainsi le grand travail à faire ces dernières années en République démocratique du Congo est d’éduquer, de transformer et d’accompagner l’homme congolais à devenir celui là qui est à mesure de faire face à la force des tempêtes de ce monde en intense mutation.

Il doit être un visionnaire, il doit être un homme libre comme le souligne l’humaniste français Michel Séguier l’homme qui n’est ni politiquement dominé, ni économiquement exploité, ni culturellement aliéné, ni vitalement déshumanisé. Telle est la perspective qui échappe aux filles et fils qui sont sensé donner une orientation concrète pouvant faire place à une coopération d’égal à égal de leur pays avec le reste du monde.

Nous avons le devoir d’être le levain du progrès de notre nation départ notre travail qui donne sens à toute existence, qui affermis en promouvant les règles éthique ouvrant le chemin du vivre ensemble, du rêver ensemble, de l’œuvrer ensemble, de construire ensemble.

La pauvreté ne se tue pas par les mots, c’est plutôt par les actes, cela doit être le levier de notre survie. Certainement, c’est suite à la pauvreté que les escrocs gentils trouvent l’appât pour faire trainer nos concitoyens dans leurs cabanes de prière, mais continuer ainsi c’est vouloir empirer les chose, la religion au 21emesiecle doit s’atteler à la promotion d’une transcendance qui n’est pas pourvoyeur à tout, mais qui propulse les énergies de la force du savoir, du savoir faire, du savoir être et du savoir-faire pour le développement intégrale et intégrante de l’homme.

Sans cela,  le développement communautaire restera une illusion, souvenons-nous que le développement communautaire est une manière de travailler avec les gens pour qu’ils soient stimuler à améliorer leurs conditions sociale, économique,… pour  BATTEN, toute religion qui ne cherche pas l’amélioration des conditions de vie de ses fidèles et le reste du monde est une religion suicidaire. Si bien nous admettons le rôle crucial que joue la religion dans l’éducation communautaire, cela ne doit pas être la raison d’établir des goulots d’étranglement à la recherche du développement tant recherché dans tous les angles de la vie en République démocratique du Congo.

Faudra t-il revaloriser la maxime de Karl Marx disant que la religion est l’opium du peuple nous ne sommes pas à cette étape car nous en reconnaissons la validité, si et seulement si elle s’exerce dans le strict respect de la personne humaine qui veut dire l’ouvrir à un champ d’épanouissement morale, stimuler ses énergies de création économique, le rendre socialement émergent, spirituellement serein, mentalement et émotionnellement apaiser, le paradoxe rend la religion vidé de tout son sens et donne cour à la promotion de cette maxime de Karl Marx énoncé ci-haut.

Le développement n’a jamais été l’apanage d’une seule couche sociale au regard inactif des autres, ça implique une symbiose, la contribution de tout un chacun, du niveau le plus bas au niveau le plus supérieur, dans tout les secteurs surtout dans les églises qui semblent exercer une certaine autorité sur leurs fidèles de mettre à coté les prédications égocentrique, provocatrice, parasitaire, et de commencer désormais à voir l’homme comme un homme naturellement libre qui a seulement l’obligation de vivre en société en connivence avec ses pairs et en harmonie avec le soi supérieur, qui donne pouvoir de braver les vaines limites faisant obstacle au développement tant personnelle que communautaire.

En somme nul n’a une place considérable que l’autre devant le créateur de l’univers tous sommes égaux, nous prenons seulement de la valeur à ses yeux lorsque nous découvrons ce qu’avait déjà découvert Nelson Mandela « nous sommes né pour manifester la gloire de Dieu qui est au-dedans de nous-même non seulement dans certain mais dans tout le monde ». L’homme restera à jamais son propre Prométhée.